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Madrid 24 Mai 2017. Fiasco et triomphe de la corrida moderne dans le Temple de la Tauromachie.

Compte rendu de la corrida de la San Isidro â Madrid le jour de notre AG.
Article a lire suite à l’AG : La Défense des encastes et du Toro de combat est d’actualité ! 

Spectacle Vendredi 9 Juin

CONFÉRENCE Union Taurine Nîmoise 18 Février

Grande capea organisée par la ville de Sommières le 3 Aout 21 h 30

affiche UCTPR

 

Grande Capea

Sommières maintien sa tradition taurine espagnole en organisant le mercredi 3 aout, en nocturne une capea.

C’est une version de la corrida qui se fait sans picadors ni banderilleros, ni mise à mort. Le travail du torero s’effectue à la cape puis à la muleta.

Le calendrier des toreros d’alternative ou des novilleros est trop chargé en cette saison estivale et c’est le Centre français de tauromachie de Nîmes et celui d’Arles qui ont désigné de jeunes toreros plein d’avenir. Sera également présent pour cette capea l’unique aficionado practico sommiérois.

Le bétail choisi est constitué par 5 vaches espagnoles dont la bravoure a été reconnue par le ganadero Mickael Fabre qui possède son élevage à coté de Cannes et Clairan. Chaque vache est torée pendant quinze à vingt minutes par les « minots » toreros  qui sortent tour à tour et suivant les directives de leurs instructeurs Patrick Varin et Juan Villanueva en fonction de leur capacités prévues face à l’animal. L’aspect éducatif est donc primordial mais ne nuit pas au spectacle, au contraire,  il l’amplifie même.

Cette soirée débutera à 21 h 30 et sera suivie en piste par une démonstration de toreo de salon puis d’une remise de trophées et souvenirs..

Le spectacle de cette grande cape sera gratuit.

La capea est organisée par la ville de Sommières avec le concours de l’Aficion, association de défense des Tauromachies et le Centre Français de Tauromachies

 

maquette2-A-4-WEB

Fresque sur la corrida dans une école de Nîmes

FresqueMadame/Monsieur,
Qu’en est-il du courage de nos dirigeants, au service du bien public ?
Est-ce en se déconsidérant ainsi qu’ils redoreront un blason déjà bien mal en point?
Quelle tristesse !
De démission en démission, jusqu’où irons-nous ?
Pourquoi cette complaisance ridicule envers les talibans anti-corrida ?
A Nîmes, première ville taurine de France, qui plus est !
Les enseignants de cette école n’ont eu d’autre choix que de plier bon gré mal gré devant leur hiérarchie…
Quel scandale, en effet, que ces 2 images honteuses faites par des enfants, ne trouvez-vous pas ?!..

Ces parents d’élèves expriment très bien la chose…
” La Direction des Services Départementaux de l’Éducation Nationale du Gard a demandé au chef d’‛établissement de cette école de faire disparaître “en toute discrétion” toro et torero de cette fresque. Les protestations des enseignants, dont certains ont participé, à l’époque, à la réalisation de ces peintures avec leurs élèves de CP, n’y ont rien fait. Il s’agit selon la Direction des Services Départementaux de l’Éducation Nationale du Gard de ne pas alimenter la polémique et de se faire discret. C’est un peu comme si l’‛état français avait censuré Charlie Hebdo au moment de la publication des caricatures du prophète afin de ne pas faire vagues. Le toro et le torero ont donc disparu de cette fresque. Il est significatif d’observer, à quel point ce “maquillage” a soulevé l’indignation de la majorité des parents d’élèves de cette école, toutes tendances confondues (aficionados, indifférents et opposants à la corrida). Une! telle majorité ne peut être recueillie que sur la base d’une idée dépassant le clivage pro et anti taurins. De même, les manifestations qui se sont déroulées en France le 11 janvier 2015 ont été massives et ont largement dépassé le cadre des sympathisants de Charlie Hebdo. Ce « maquillage » soulève une indignation unanime car il représente en fait une atteinte à la culture en général. De plus, nier l’‛existence de la culture taurine dans les régions de tradition ininterrompue, c’est nier un fait historique. En cela, c’est assimilable à du négationnisme (terme inventé pour qualifier la négation de la Shoa, et qui par extension est utilisé dans les situations de dénis manifestes de faits historiques avérés et indiscutables). Dépassant encore le clivage pro et anti corrida, il y a aussi lieu de s’inquiéter sur la capacité d’intrusion de certains mouvements au sein de l’‛école de la République. Aujourd’hui, il s’‛agit de ! la modification d’une fresque au nom d’une uniformisation ! des pratiques. Demain, il s’agira de modifier le contenu de programmes scolaires pour des motifs politiques et/ou religieux. Cet acte de vandalisme commis sous la pression d’une minorité visiblement influente, ne peut rester sans réponse. Aficionado ou pas, n’importe quel citoyen du monde ne peut demeurer passif dès lors qu’‛il s’agit d’étouffer une expression culturelle quelle qu’elle soit. Aujourd’hui, c’‛est une fresque dans une école. Demain, ce sera les dessins de Picasso et plus tard les peintures rupestres de Lascaux. ”
Je ne puis guère vous exprimer confiance et considération, hélas !
Jacques Teissier, Nîmes

Copie à : Valérie Rouverand, Adjointe au Maire déléguée à l’Enseignement scolaire
et à : Frédéric Pastor, Adjoint au Maire délégué à la Tauromachie

1er Tienta de l’association » le Mundillo du Second Œuvre Nîmois »

cliquez pour voir le programme complet :

MUNDILLO - Tienta Septembre 2015x

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